Années 1830-1840

La liste des éditions des livres qui suivent n'est pas exhaustive. Pour les nouvelles et romans qui n'ont pas été réédités souvent, je donne le nombre total d'éditions. Pour ceux qui ont été très souvent repris, je donne la préférence aux éditions disponibles en ligne. Et bien sûr, je ne mentionne pas les éditions revues et corrigées, que vous trouverez dans une autre section.

1838

Genséric. (tragédie) 

Inédit. À noter que dans Le Drame de la jeunesse, un roman à caractère fortement autobiographique, le héros Fernand Leprieur écrit une tragédie intitulée Genséric.

1839

Pierre Michet. (nouvelle) 

Le Cabinet de lecture, 20 et 25 juin 1839 (parties une et deux).

Édité en 1839 Souvenirs historiques.

Probablement la première nouvelle de Féval.

 

Le Souper de Guerbehel. (nouvelle fantastique)

Le Nouvelliste, 22 septembre 1839.

La première nouvelle fantastique de Paul Féval, dont je n’ai malheureusement pas encore trouvé de numérisation. 

 

L’Oncle Canary. (nouvelle) 

Le Nouvelliste, 8 et 11 novembre 1839.

Pas de numérisation disponible pour le moment.

1840

Il ne faut pas jouer avec l'amour. (nouvelle) 

Le Cabinet de lecture, 25-29 février 1840 (parties une et deux).

Réimprimé dans Le Petit journal, 24-27 août 1866.

1841

Le Curé de Sein. (nouvelle)

L'Union catholique, 1841.

Le cabinet de lecture et le cercle réunis, gazette des familles, 5 mars 1842.

 

Le Club des phoques. (roman court)

La Revue de Paris, 1841, avril (no 28, p. 172-201).]]

Édité dans le recueil Le Capitaine Spartacus, 1843.

 

Deux Don Juan. (nouvelle)

Le Commerce, 7, 10, 11 et 12 août 1841.

Édité dans le recueil Quatre femmes et un homme, 1862, p. 147-220.

Édition ELG.

 

Le Bourgeois de Vitré. (nouvelle)

La Revue de Paris. septembre 1841 (n°33, p. 93-124).

Édité dans le recueil Le Capitaine Spartacus, 1843.

 

Le Marin et la novice. (nouvelle)

Le Parisien, 19-20 octobre 1841 (sous le pseudonyme Daniel Sol) et La France maritime, 1853, tome 4, p. 254.

Cette nouvelle a été publiée dans plusieurs recueils et sous deux titres différents : Le Marin et la novice et Marthe la novice.

Édité dans le recueil Quatre femmes et un homme, 1862, p. 221-253.

Édition ELG.

 

Les Rasoumofski. (nouvelle)

Le Commerce, 30 octobre 1841.
Réimprimé sous le titre Les Rasoumowski dans Le cabinet de lecture et le cercle réunis, gazette des familles, 20 juin 1842.

Cette nouvelle a été rééditée à la suite de La Fée des grèves en 1851.

 

Le Capitaine Spartacus ou le Ravin de La Gacilly. (nouvelle)

L’Union catholique, 15-23 novembre 1841 sous le titre Les Bleus à la Gacilly.

Édité dans le recueil Le Capitaine Spartacus, volume 1, 1843.

 

Le Bonhomme Jacques. (nouvelle)
La France maritime, 1841, tome 4, p. 228.

1842

Favas et Boisrosé. (nouvelle)

La Sylphide, 1842 (parties une et deux).

Édité en 1845 dans le quatrième volume du recueil Les Fanfarons du roi, à la suite du roman Les Fanfarons du roi, suivi des nouvelles Favas et Bois-Rosé et La Madonna del Fuoco, pages 189-286.

Réédité sous le titre Les Armuriers de Tolède en 1848 dans le recueil Rollan Pied-de-fer, à la suite de Rollan Pied-de-fer, Quandoquidem, Le Fils du diable, Favas et Bois-Rosé, et La Boîte d'or (par Mme E. Gomez).


La Tapisserie. (nouvelle)

La Sylphide, 1842 (parties une, deux et trois).

Édité à une date inconnue dans le recueil collectif L’Élite, livre des salons (pages 103-134).

Republié du 24 février au 6 mars 1856 sous le titre La Chambre mystérieuse dans L'Omnibus, (24 février, 28 février, 2 mars et 6 mars)

Réédité sous le titre Claire ou La Tapisserie dans le recueil Douze femmes (voir 1878).

 

La table de pierre. (nouvelle)
L'Union catholique, date inconnue.

Réimprimé dans Le cabinet de lecture et le cercle réunis, gazette des familles, 10 mai 1842.

Réimprimé sous le titre La table de pierre. Chronique des Montagnes-Noires dans la Nouvelle revue de Bruxelles, 1843.

 

Anne des Îles : Tradition de la mer bretonne. (nouvelle)
L'Union catholique, 15-17 septembre 1842.

Le Cabinet de lecture, le Voleur et le Cercle réunis, 20 septembre 1842 (p. 247-253).
Édité
sous le titre Anne des îles : pilleurs d'épaves entre Sein et Audierne (1842).

Réédité dans le recueil Contes de Bretagne (voir 1844).
Réédité sous le titre Anne des Iles. Tradition bretonne dans le recueil Les Dernières fées (voir 1857).

 

Le Lion d'or. (nouvelle)
Le Commerce, 23, 24, 25, 27, 28 septembre 1842.

Édité en volume à la suite du roman Fontaine-aux-perles (1846).

Réédité à la suite de la nouvelle Le Banquier de cire avec Les Jumeaux de Foix, 1852.
Réédité sous le titre Ernestine Quesnot ou Le Lion d'or dans le recueil Douze femmes (voir 1878).

 

La Gemma. (nouvelle)
La Législature. 11, 12, 15, 16, 18, 19, 22, 23, 25 octobre 1842.

Réimprimé dans le Journal de Toulouse du 24 mai au 1er juin 1844.
Édité dans le recueil Le Capitaine Spartacus (voir 1843).

 

Rollan Pied de Fer ou Mademoiselle des Vertus. (roman court)
Le Parisien, 17 - 26 décembre 1842, et La Sylphide, 1842 (parties une, deux, trois, quatre et cinq)
Édité en volumes dans le recueil Le Capitaine Spartacus (voir 1843).

 

La Femme blanche des marais. (nouvelle)

L’Union catholique, 17-29 décembre 1842. L’Écho français, 16-22 juin 1843.

Le Cabinet de lecture, le Voleur et le Cercle réunis, 25-28 février 1843 (parties une et deux).

Édité dans le recueil Contes de Bretagne (voir 1844).

Réédité, sous le titre La Dame blanche, dans le recueil : Romans enfantins (voir 1862).

Note : en ce qui concerne la version parue dans Romans enfantins, il s’agit d’une version très légèrement remaniée, puisque l’auteur y ajoute par endroits quelques phrases dans lesquelles il s’adresse à Madeleine Achard, la fille de son ami Amédée Achard, à laquelle il dédie ce « roman ».

1843

Le Chasseur de Prêtres. (nouvelle)

Cette nouvelle est mentionnée par Jean-Pierre Galvan, qui ne précise toutefois pas le journal ou la revue qui l'a publiée. Je n'ai pas trouvé de numérisation à ce jour.

 

Les Jumeaux de Foix. (nouvelle)

La Sylphide, 1843, première partie, deuxième partie.

Édité en 4 volumes en 1849 dans le recueil Alizia Pauli, à la suite du roman Alizia Pauli.

Réédité en 1851.

Réédité en 1852 dans le recueil Le Banquier de cire, précédé des nouvelles Le Banquier de cire et Le Lion d'or.

Réédité en 1853-1854 dans le Tome 3 des Œuvres de Paul Féval.

 

La Dague du roi Pélage. (nouvelle)

Le Cabinet de lecture, le Voleur et le Cercle réunis, 15 février 1843 (p. 141-151)

Édité en 1845 dans le quatrième volume du recueil Les Fanfarons du roi, à la suite du roman Les Fanfarons du roi, suivi des nouvelles Favas et Bois-Rosé et La Madonna del Fuoco, pages 33-187.

Réédité sous le titre Les Armuriers de Tolède en 1848 dans le recueil Rollan Pied-de-fer, à la suite de Rollan Pied-de-fer, Quandoquidem, Le Fils du diable, Favas et Bois-Rosé, et La Boîte d'or (par Mme E. Gomez).

 

Le Sherry du commodore.

La Quotidienne, 15 février 1843.

Le Cabinet de lecture, le Voleur et le Cercle réunis, 20 février 1843.

 

L'Enfant de la punition. (nouvelle)

La Quotidienne, 1er mars 1843.

Le Cabinet de lecture, le Voleur et le Cercle réunis, 5 mars 1843.

Édité en 1878 dans le recueil Veillées de famille (édition revue et corrigée).

 

La Mort de César. (nouvelle)

La Quotidienne, 8 avril 1843.

Réimprimé sous le titre César dans Le Cabinet de lecture, le Voleur et le Cercle réunis, 20 avril 1843.

Édité sous le titre La Mort de César dans le recueil Contes de Nos Pères (voir 1845).

 

Le Médecin bleu. (nouvelle)

Le Journal des enfants, avril-mai 1843.

Édité dans le recueil Contes de Nos Pères (voir 1845).

 

Les Chevaliers du firmament ou Les Fanfarons du roi.

La Législature, 14 mars - 28 juin 1843.

Réimprimé dans le Journal de Toulouse du 5 avril au 11 mai 1844.

Édité dans la collection « Les Mille et un romans » (1844).

Réédité en 1855.

Réédité en 1864.

 

Le joli château de Coquerel. (nouvelle)

Le Cabinet de lecture, le Voleur et le Cercle réunis, 10-15 avril 1843 (parties une et deux).

L'Univers, 23 mars-12 avril 1844 sous le titre Le joli château.

Édité sous le titre Le joli château dans le recueil Contes de Bretagne (voir 1844).

Réédité en 1860 dans le recueil La Tour du diable, à la suite des nouvelles Le Château de Croïat et La Joute bretonne, sous le titre La Tour du diable (voir 1860).

 

La Madonna del Fuoco. (nouvelle)

Le Glaneur : choix des meilleurs feuilletons, romans, nouvelles et chroniques publiés dans le mois, juin 1843, pages 14-16.

Rééditée en 1845 dans le quatrième volume du recueil Les Fanfarons du roi, à la suite du roman Les Fanfarons du roi et des nouvelles La Dague du roi Pélage et Favas et Bois-Rosé, pages 287-327.

Rééditée le 10 janvier 1858, sous le titre La Madone dans La Sylphide, pages 273-275.

 

Les Joutes bretonnes. (recueil de nouvelles)

Contient six nouvelles : La Lutte, Bras-de-cuir et le houlan, Le Bâton, La Grenouille, Le Fouet, Le Papegault.

La Quotidienne, du 25 juin au 24 octobre 1843.

Le Cabinet de lecture, le Voleur et le Cercles réunis. 10 juillet (p. 17-19), 15 juillet (p. 38-40), 20 juillet (p. 53-54), 30 août (p. 179-181), 15 septembre (p. 230-232), 30 octobre 1843 (p. 372-374).

Édité dans le recueil Le Château de Croïat (voir 1848).

Réédité dans le recueil La Tour du diable (voir 1860).

Réédité dans le recueil : Contes bretons (voir 1869).

 

Tourterelle. (nouvelle)

Le Cabinet de lecture, le Voleur et le Cercle réunis, 5 juillet 1843.

Édité sous le titre Thérésa dans le recueil collectif Le Diadème : livre d'étrennes, album des salons.

Réédité sous le titre Le Chevalier Tourterelle à la suite du roman Le Vicomte Paul, avec la nouvelle La Reine Margot et le mousquetaire. (voir 1872).

 

Force et faiblesse. (nouvelle)

La Quotidienne, 25, 26, 27 et 29 juillet 1843.

Édité dans le recueil Contes de Nos Pères (voir 1845).

Réédité dans le recueil Quatre femmes et un homme (voir 1862).

 

Le Capitaine Spartacus. (recueil de nouvelles)

Contient cinq textes : Le Capitaine Spartacus, Le Club des Phoques, Le Bourgeois de Vitré, Rollan Pied-de-fer, La Gemma.

Édité en deux volumes : volume un, volume deux.

 

Le Petit gars, épisode des guerres de la Chouannerie. (nouvelle)

La Quotidienne, 19, 20, 22 et 23 septembre 1843.

Édité dans le recueil Contes de Nos Pères (voir 1845).

 

La Forêt de Rennes ou le Loup blanc. (sous le pseudonyme de sir Francis Trolopp).

Le Courrier français, du 23 septembre au 27 octobre 1843 sous le titre Le Loup blanc et signé Paul Féval.

Édité en 1845 sous le titre La Forêt de Rennes dans le recueil La Forêt de Rennes, suivi de la nouvelle Le Banquier de cire, en trois volumes : volume un, volume deux, volume trois.

Édition Wikisource.

 

Le Banquier de cire. (nouvelle)

L'État, octobre 1843.

Édité en 1845 dans La Revue de la presse : gazette des familles, livraison de janvier (pages 385-395).

Réédité en 1845 dans le recueil La Forêt de Rennes, à la suite du roman La Forêt de Rennes.

Réédité sous le titre Miss Anna ou Le Banquier de cire dans le recueil Douze femmes (voir 1878).

 

Yaumi. (nouvelle)

La Patrie, du 12 au 15 septembre 1843

Le Cabinet de lecture, le Voleur et le Cercle réunis, 10-15 novembre 1843 (parties une et deux).

Édité dans le recueil collectif Les Ouvriers de l'avenir, à la suite du roman de Pierre Zaccone, Les Ouvrier de l'avenir, pages 55-64.

 

Le Val-aux-Fées. (nouvelle)

La Quotidienne, du 7 au 9 décembre 1843.

Édité dans le recueil Contes de Nos Pères (voir 1845).

Réédité sous le titre Contes bretons. Le Val-aux-fées (sans date).

 

Jouvente de la Tour. (nouvelle)

La Mode, 15 décembre 1843, pages 426-433.

Le Cabinet de lecture, le Voleur et le Cercle réunis, 25 décembre 1843, pages 545-548.

Édité dans le recueil Contes de Nos Pères (voir 1845).

Réédité dans le recueil Quatre femmes et un homme (voir 1862).

 

Le Vulnéraire du docteur Thomas. (roman court)

Le Globe. 14-16, 19-23, 27-29 décembre 1843.

Édité en 1844 dans La Revue de la presse : gazette des familles, livraisons de juin (pages 59-75) et juillet (pages 97-110).

Réédité en 1847 sous le titre Le Tour du bâton dans le 2ème tome du recueil Les Bandits, pages 29-533 (voir 1847).

Réédité en 1848 sous le titre Le Tour du bâton dans le 2ème tome du recueil Les Bandits.

 

Voyage autour du monde. (nouvelle)

La Chronique (tome IV), du 15 au 31 décembre 1843.

Réimprimé sous le titre Les Deux célibataires dans Le Cabinet de lecture, pages 17-22, le 10 janvier 1844.
Édité dans le recueil La Quittance de minuit, à la suite du roman La Quittance de minuit et de la nouvelle Yaumi en 1846.
Réédité dans l’édition illustrée des Œuvres de Paul Féval (tome 3), 1853-54.
Réédité sous le titre Ève ou Le Tour du monde en cinq lettres dans le recueil Douze femmes (voir 1878).

 

Le Docteur Bousseau. (nouvelle)

La Lecture, 1843, volume 2.

Édité dans le recueil Le Fils du diable, à la suite du roman Le Fils du diable et de la nouvelle Quandoquidem, en 1846-1847.

Réédité dans le recueil Gavotte (voir 1876).

 

Fleur des batailles. (nouvelle)

Les Beaux-Arts, 1843, volume I, pages 125-129.

Éditée dans le recueil de nouvelles Douze femmes (voir 1878).

 

Miss Olivia. (nouvelle)

Le Correspondant, 1843, tome 4 (pages 96-122).

Éditée dans le recueil Les Belles de nuit à la suite du roman Les Belles de nuit, en 1850.

1844

Les Aventures d'un émigré. (roman court)

La Quotidienne, du 5 au 13 mars 1844.

Édité dans le recueil Les Bandits (voir 1847). Recueil en deux volumes, contenant les romans Les Aventures d'un émigré (vol. 1 entier et vol. 2 pages 1-28) et  Le Tour du bâton (voir Le Vulnéraire du docteur Thomas, 1843).

Réédité dans le recueil Les Bandits (voir 1848). Recueil contenant les romans Les Aventures d'un émigré et Le Tour du bâton.

Réédité sous le titre Les Bandits de Londres (voir 1852).

Réédité sous le titre La Fille de l'émigré dans le recueil Le Capitaine Simon, à la suite du roman Le Capitaine Simon (voir 1858).

 

Job Misère. (nouvelle)

Édité dans le recueil Contes de Bretagne en 1844.

Réédité sous le titre Job le Rôdeur dans le recueil Job le Rôdeur en 1857.

 

Contes de Bretagne. (recueil de nouvelles)

Contient : Job Misère, La Femme blanche des marais, Anne des Îles et Le Joli château.

Édité en 1844.

Réédité sous le titre Job le Rôdeur en 1857.

Réédité sous le titre Les Dernières fées en 1857.

Réédité sous le titre Contes de Bretagne en 1928.

 

Les Mystères de Londres. (roman publié sous le pseudonyme sir Francis Trolopp)

Le Courrier français, 20 décembre 1843 - 12 septembre 1844.

Très nombreuses éditions (tant sous le pseudonyme Sir Francis Trolopp que sous le nom Paul Féval) :

Édité (Sir Francis Trolopp) en 11 volumes en 1844 (disponibles sur Gallica et sur Wikisource).

Réédité (Sir Francis Trolopp) en 1847 dans la collection Les Mille et un romans. Tome 19. Note : cette édition contient un épilogue différent de celui de l'édition de 1844.

Réédité (Paul Féval) en 3 volumes en 1848.

Nouvelle version remaniée :

Édité en 2 volumes en 1866.

Réédité en 2 volumes en 1869.

1845

Quandoquidem. (nouvelle)

Le Bulletin de la Société des gens de lettres, janvier 1845, pages 472-478.

Édité dans le recueil Le Fils du diable à la suite du roman Le Fils du diable et de la nouvelle Le Docteur Bousseau en 14 volumes en 1846-1847.

Réédité dans le recueil La Forêt de Rennes à la suite du roman Fontaine-aux-perles en 1851.

 

Les Amours de Paris. (sous le pseudonyme sir Francis Trolopp)

Le Courrier français, 23 janvier - 8 juin 1845.

Très nombreuses éditions (sous le nom de Paul Féval) :

Édité en 6 volumes en 1845.

Réédité en 1847 dans la collection Les Mille et un romans. Tome 18.

Réédité en 2 volumes en 1848.

Réédité en 1852, 1853, 1854 et 1858.

Réédité en 2 volumes en 1860.

Réédité en 1860 et 1861.

Réédité en 2 volumes en 1865.

Réédité en 2 volumes en 1887.

 

Contes de Nos Pères. (recueil de nouvelles)

Contient : Le Petit Gars. Le Val-aux-Fées. Force et Faiblesse. La Mort de César. Jouvente de la Tour. Le Médecin Bleu.

Édité en 1845.

Réédité sous le titre Contes en 2 volumes en 1847.

Réédité sous le titre Les Contes de nos pères en 2 volumes, sans date.

 

Fontaine aux perles. (roman court)

L'Esprit public, 14-17, 19-27 septembre, 4-15, 17-18 octobre 1845.

Édité en 3 volumes en 1845.

Réédité en 3 volumes en 1846 avec Le Lion d'or.

Réédité en 1851 et 1859 dans le recueil La Forêt de Rennes, suivi de la nouvelle Quandoquidem.

Réédité en 1859, 1874 et 1875.

Réédité en 3 volumes, à une date inconnue, dans le recueil Fontaine-aux-perles, suivi de la nouvelle Le Lion-d'or.

Édition Wikisource.

1846

La Quittance de minuit. (roman)

Le Journal des Débats, 1846 : 21 janvier - 17 mai.

Édité en 4 volumes en 1846 : volume un, volume deux, volume trois, volume quatre.

Réédité en 2 parties intitulées La Quittance de minuit et La Fille des rois dans le tome 3 des Œuvres de Paul Féval.

Réédité en 2 volumes intitulés L'Héritière et La Galerie du géant en 1872-1873.

 

Le Fils du diable.

L’Époque, 16-28 février ; 3-14, 16-18, 24-31 mars ; 1-10, 18-19, 21-25, 28-29 avril ; 1-3, 5-6 mai ; 7-9, 12-15,19, 21-23, 26-30 août ; 2-5, 16-20, 22-30 septembre ; 1-4, 6-11, 13-17, 20-22, 28-21 octobre ; 4-8, 10-15 novembre 1846.

Édité en 14 volumes en 1846-1847 dans le recueil Le Fils du diable suivi des nouvelles Quandoquidem et  Le Docteur Bousseau.

Réédité en 3 volumes en 1846-1847.

Réédité en 2 volumes en 1847-1848.

Réédité en 4 volumes en 1848 et 1861 dans le recueil Le Fils du diable suivi du roman Rollan Pied-de-Fer.

Réédité en 1853-1854 dans le tome 2 des Œuvres de Paul Féval.

Réédité en 1857 dans le Musée littéraire : choix de littérature contemporaine française et étrangère, 18ème série, pp. 1-321.

Réédité en 4 volumes en 1858 dans le recueil Le Fils du diable suivi du roman La Forêt de Rennes.

Réédité en 2 tomes en 1875 sous le titre Le Fils du diable ou les Trois hommes rouges : grand roman dramatique.

Réédité en 3 volumes en 1876.

Réédité en 4 parties de deux volumes chacune en 1897 : 1. Le Fils du diable, 2. Les Marchands d'argent, 3. Les Trois hommes rouges, 4. La Vengeance de Bluthaupt.

Édition ELG : tome 1, tome 2.

Édition Wikisource.

Note : Dès ce roman, Féval fait preuve d'un antisémitisme qui se retrouvera malheureusement dans une grande partie de son œuvre. Mais étrangement ce sont certainement les personnages de Moïse et surtout Sarah de Geldberg dont la psychologie est la plus développée, celle des autres antagonistes (José Mira, Fabricius Van-Praët, Yanos Georgyi et Zachœus Nesmer) étant beaucoup moins profonde. Moïse de Geldberg, vieillard physiquement diminué mais richissime, est aussi le prototype d'un personnage qui reviendra régulièrement dans l’œuvre févalienne, notamment sous les traits du Colonel Bozzo-Corona dans la série Les Habits Noirs.

1847

Le Fils du diable, drame en 5 actes et 11 tableaux, (précédé du prologue Les Trois hommes rouges), en collaboration avec Saint-Yves et Frédéric Soulié, musique d'Amédée Artus.

Première au théâtre de l'Ambigu-Comique, le 24 août 1847, Paris.

Édité en 1847.

Réédité en 1849.

 

Le Mendiant noir ou la Créole. (roman)

Le Journal du dimanche, 6 septembre - 22 novembre 1846.

Édité en 3 volumes en 1847 dans le recueil Le Mendiant noir suivi des nouvelles Deux Don Juan et Le Marin et la novice.

Réédité en 1847.

Réédité sous le titre La Créole en 1853-1854 dans le tome 1 des Œuvres de Paul Féval.

 

Les Bandits. (recueil de romans et nouvelles)

Édité en 2 volumes sous le titre Les Bandits. Contient dans le premier volume le début du roman Les Aventures d'un émigré (voir 1844) et dans le second volume la fin du roman et le roman Le Tour du bâton (voir 1843, Le Vulnéraire du docteur Thomas).

Réédité en 2 volumes en 1848 sous le titre Les Bandits. Contient dans le premier volume le roman Les Aventures d'un émigré et dans le second volume le roman Le Tour du bâton.

Réédité en 1852 sous le titre Les Bandits de Londres. Contient le roman Les Aventures d'un émigré (sous le titre Les Bandits de Londres) et les nouvelles Le Papegault et La Grenouille (voir 1852).

 

La Mort de lord Byron, drame en un acte et en vers, en collaboration avec Pierre Zaccone.

Première au théâtre de l'Ambigu-Comique, le 11 décembre 1847.

Édité en 1848.

Pas de numérisation disponible pour le moment.

1848

Alizia Pauli. (roman)

La Semaine, 27 mars - 20 août 1848.

Édité en 1848 dans un recueil collectif, pages 45-165.

Réédité en 4 volumes en 1849, suivi de la nouvelle Les Jumeaux de Foix.

Réédité en 1852, 1859, 1860, 1872 et 1950.

Note : il semble que l'édition de 1950, bien que publiée par Albin Michel, ne soit pas une version revue et corrigée.

 

Le 24 février (scène dramatique en vers), en collaboration avec Pierre Zaccone.

Première au théâtre de l'Ambigu-Comique, le 9 mars 1848, Paris.

Édité en 1848 et 1856.

Réédité dans le Théâtre contemporain illustré.

Réédité dans un recueil collectif.

 

Les Tribulations, traverses et mystifications d'un terroriste de 1848. (texte humoristique) (publié sous le pseudonyme « Un romancier sans ouvrage »)

Le Pamphlet, 6-14 juin 1848.

Pas numérisation disponible pour le moment.

 

Le Château de Croïat. (roman court)

Publié directement en volumes.

Édité en 2 volumes en 1848 dans le recueil Le Château de Croïat, suivi des nouvelles La Lutte, Joute bretonne, Bras-de-cuir et le houlan, Le Bâton, La Grenouille, Le Fouet et Le Papegault : volume un, volume deux.

Réédité en 1853-54, dans le Tome 2 des Œuvres de Paul Féval.

Réédité en 1860 dans le recueil La Tour du diable, précédé de la nouvelle La Tour du diable et suivi des 6 nouvelles La Joute bretonne (voir 1860).

Edition ELG.

 

Études sociales : Les Ouvriers de Londres. (roman court)

Le Musée des familles, juillet – septembre 1848, pages 313-320, 343-350 et 374-378.

Édité en 2 volumes en 1850 sous le titre Les Ouvriers de Londres dans le recueil collectif Les Ouvriers de Londres et de Paris, suivi du roman Les Ouvriers de Paris, par Pierre Zaccone (dans le second volume).

Réédité en 1876 sous le titre Rosy Kate dans le recueil Gavotte, précédé des nouvelles Le Citoyen capitaine Spartacus et Le Docteur Bousseau.

Note : l'édition de 1876 est peut-être une version revue et corrigée.

 

Les Mystères de Londres ou les Gentilshommes de la nuit (drame en 5 actes et 10 tableaux), en collaboration avec Anicet Bourgeois.

Première au Théâtre-Historique, le 28 décembre 1848, Paris.

Édité en 1849.

1849

Mauvais cœur (drame en 5 actes et 7 tableaux ; précédé du prologue La Femme du corsaire). Peut-être en collaboration avec Alexandre Dumas père.

Adaptation par Paul Féval d'un épisode des « Confessions générales » de Frédéric Soulié.

Première au théâtre de l'Ambigu-Comique, le 15 février 1849.

Édité en 1849.

Réédité en 1850.

Réédité en 1861 dans Le Théâtre contemporain illustré, livre 641.

 

Les Puritains d’Écosse (drame en 5 actes et 12 tableaux). En collaboration avec Paul de Guerville et peut-être avec Alexandre Dumas père.

Adaptation du roman de Walter Scott Old Mortality (en français Les Puritains d’Écosse), publié en 1816.

Première au Théâtre Historique, le 19 mai 1849.

Édité en 1849.

Réédité dans l'édition en 2 volumes des Drames et comédies par Paul de Guerville. Le premier volume contient Jean de Bourgogne ; Emma ; Jean de Nivelle ; Trois rivaux ; Pauvre aveugle ; Catherine de Médicis ; Les exilés de Florence ; Les deux paires de lunettes ; L'argent ; La sonette du diable ; Les belles de nuit. (par Paul Féval et Paul de Guerville). Le second volume contient Les Puritains d’Écosse (par Paul Féval et Paul de Guerville) ; Louise de Vaulcroix ; La journée des dupes.

Pas de numérisation disponible pour le moment.

 

Monsieur Cangrel. (roman inachevé)

L'Ère nouvelle, 25 mai - 31 mai 1849.

Ce roman ne fut pas achevé et donc jamais publié, suite à la disparition du journal. Selon Jean-Pierre Galvan, l'histoire devait parler « d’escroqueries liées à la création de sociétés par commandite », thème que l'on retrouvera dans le très long roman Madame Gil Blas.

 

Une Pécheresse. (roman)

La Semaine, 1848 : 24 décembre - 1849 : 8 juillet.

Édité en 2 volumes en 1849 : volume un, volume deux.

Réédité en 4 volumes en 1851 sous le titre La Femme du banquier dans le recueil collectif La Femme du banquier, suivi de Sabine, par Pierre Zaccone.

Réédité sous le titre Une Pécheresse dans le recueil collectif Une pécheresse, suivi par La Boîte d'or, par Mme E. Gomez.

Réimprimé en 1855 dans le Journal littéraire, pages 1-100.

Réédité en 1908 sous le titre La Pécheresse.

 

Les Belles de nuit ou les Anges de la famille (drame en 5 actes et 9 tableaux) en collaboration avec Paul de Guerville.

Adaptation d'un roman de Paul Féval en cours de publication dans la presse.

Première au théâtre de la Gaîté, le 30 octobre 1849, Paris.

Édité en 1849.

Réédité en 1866 dans l'édition Le Théâtre contemporain illustré, Tome XXVI, livre 631 et 632.

Réédité dans l'édition en 2 volumes Drames et comédies par Paul de Guerville. Le premier volume contient Jean de Bourgogne ; Emma ; Jean de Nivelle ; Trois rivaux ; Pauvre aveugle ; Catherine de Médicis ; Les exilés de Florence ; Les deux paires de lunettes ; L'argent ; La sonette du diable ; Les belles de nuit. (par Paul Féval et Paul de Guerville). Le second volume contient Les Puritains d’Écosse (par Paul Féval et Paul de Guerville) ; Louise de Vaulcroix ; La journée des dupes.

 

Un Drôle de corps. (roman)

Publié directement en volumes.

Édité en 2 volumes en 1849 : volume un, volume deux. (Le volume deux contient aussi Pampette, par Pierre Zaccone, et Justine, par Élie Berthet).

Réédité en 1853-1854 dans le Tome 1 des Œuvres de Paul Féval.

 

Mademoiselle de Presmes. (nouvelle)

La Mode, 1849 (pages 69-80, 137-148 et 195-207).

Édité en 2 volumes en 1853 à la suite du roman Le Capitaine Simon, dans le recueil éponyme.

Réédité en 1850 dans le recueil collectif Mademoiselle de Presmes, suivi de Giacomo Sarti, par le Marquis de Foudras, Une chasse, par Alexandre Dumas père.

Réédité en 1878 dans le recueil Douze femmes (voir 1878).